Sa biographie

Près de vingt années de recherches ont été nécessaires pour reconstituer l’œuvre de l’écrivain, brosser son portrait et celui de personnes qui l’ont connu, rédiger de façon vivante les différentes étapes de sa vie. L’auteur a consulté nombre de journaux, livres et revues, « hanté » les bibliothèques et les dépôts d’archives, et dépouillé les archives que la librairie Albin Michel a bien voulu mettre à sa disposition et lui permettre de les reproduire.

Quantité d’informations émaillent cet ouvrage de 286 pages, telles la rencontre du petit-fils du romancier, la découverte de pseudonymes et de titres de romans posthumes. De nombreuses anecdotes rendent le romancier proche de nous, aussi bien dans sa vie privée que dans son activité professionnelle. Nous découvrons aussi combien Arnould Galopin a été traduit en Europe de son vivant : en Espagne, Italie, Hongrie, Pologne, Roumanie, etc.
Le livre comporte des illustrations en noir et blanc, des photographies familiales, auxquelles s’ajoute un cahier de 32 pages de reproductions en couleurs de couvertures de livres et de fascicules.
Daniel Compère, ancien Maître de Conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle, qui a publié de nombreux travaux sur la littérature populaire des 19e et 20e siècles, Président depuis une dizaine d’années de l’Association des Amis du roman populaire (AARP) a préfacé la biographie.

Référencé dans la base française de données bibliographiques « ELECTRE » du Cercle de la librairie.
Déposé à la Bibliothèque nationale – ISBN 978-2-7466-4818-0.

 

 

Sommaire du livre

Le livre est au format 16 x 24 cm

 

 

      Avis de lecteurs

Des lecteurs, d’horizons très divers, ont bien voulu, de façon spontanée, faire part de leur avis sur la biographie consacrée au romancier, en voici quelques extraits :

 

GM  – Votre bouquin est absolument formidable, je le dévore à belles dents. Impossible d’y trouver la moindre chose à redire ! Un travail colossal ! J’ai fait circuler la nouvelle de sa parution.

DC – J’ai commencé à lire le livre sur Galopin en rentrant jeudi. Sans attendre, je tiens à te dire que c’est du beau travail ! Je lui souhaite bien du succès.

 A également fait une large présentation de l’ouvrage dans une revue littéraire spécialisée.

AC– Je vous remercie d’avoir transformé votre plaisir de collectionneur en travail concret.

Je diffuse la nouvelle de la parution du livre à mes clients, et le fait savoir aux libraires.

JS –  J’ai commencé ce week-end à lire votre ouvrage. Passionnant ! Je vous adresse mes félicitations pour ce beau travail qui va me permettre de découvrir des facettes méconnues de cet écrivain. Ce sont quelques belles soirées de lecture en perspective ! 

FSM– J’ai bien reçu votre livre et l’ai aussitôt parcouru. Je mesure l’étendue du travail (plutôt plaisant) qu’il me reste à faire avant de prétendre connaître cet auteur mais je ne doute pas qu’avec votre aide cette tâche me sera des plus agréables. Encore bravo pour votre travail et votre érudition.

GB – Elle vient de paraître cette étude sur Arnould Galopin, magistralement réalisée par Pierre Chevallier. Très détaillée, bien illustrée, avec une biographie précise qui comporte même un petit dictionnaire des illustrateurs. C’est l’ouvrage dont on rêvait !

JPF – Toutes mes félicitations pour votre ténacité et le résultat obtenu. C’est un ouvrage magnifique avec des photos superbes. Je vois qu’il me manque pas mal de livres, dommage qu’ils ne soient plus en vente !

GP – Permettez-moi de vous adresser mes plus vives félicitations pour le travail extraordinaire que vous avez accompli. Belle érudition… Vous êtes « le » spécialiste d’Arnould Galopin. Comment ne pas être impressionné par la somme d’informations que vous avez recueillies.
Et lisant sous votre plume la découverte que vous avez faite du petit-fils de notre héros, cela me rappelait les bonheurs d’enquête que j’ai moi-même éprouvés, naguère.
Je vous ai lu avec grand plaisir, nul doute que je vous relirai bientôt avec la même satisfaction.

PA – Bien reçu votre ouvrage sur sieur Galopin. Quel travail ! Vous avez du trimer pendant quelques années afin de recenser et mettre en place toutes ces informations !
Les études sur la littérature populaire du XXe siècle et ses illustrateurs se font rares…

JPD – Un grand bravo pour votre livre que j’ai dévoré, et qui m’a appris beaucoup de choses sur Galopin. Il est très vivant et on peut le prendre par plusieurs bouts.

CM – J’ai acheté votre livre samedi et l’ai lu d’une traite. On peut dire qu’avant vous Galopin n’était qu’une silhouette et que grâce à vous il a désormais un visage. Vous avez eu raison de publier : on attendait votre biographie depuis des années et différer n’aurait pas forcément permis d’aboutir à un travail plus complet. Galopin sort enfin de l’obscurité, il revit grâce à vous. Merci.

GDET –  Je viens juste de finir votre livre et suis littéralement béat devant le montant de recherches que cela implique. De plus votre présentation est fort attrayante. Un bon point supplémentaire concernant la qualité de l’iconographie.
Encore une fois un grand bravo et aussi un grand merci.

CB – Oui, j’ai vraiment aimé le livre. Très vivant. Vous avez su transmettre votre plaisir pour Galopin, l’homme et l’écrivain.
A dit en mai 2013  dans une chronique diffusée sur Radio France :
Chevallier est le conteur disert d’une carrière littéraire [Galopin] entièrement vouée au roman d’aventures. Outre une bibliographie minutieuse de près de 50 pages, des documents inédits enrichissent le portrait d’un homme d’esprit qui méritait bien son patronyme.

RD  –  Je suis stupéfait par le résultat de vos recherches, que ce soit par la quantité d’informations traitées et analysées ou la façon dont vous les avez mises en scène.
J’ai beaucoup apprécié également, iconographie oblige,  les éléments graphiques placés au centre du volume et qui ont éveillé des souvenirs de documents possédés autrefois par mon père.

BS – Je fais partie des quelques spécimens en voie d’extinction qui connaissent l’illustre inconnu nommé Arnould Galopin dont je viens de lire d’une seule traite la biographie que vous lui avez consacrée. Je tiens donc à vous féliciter de votre excellent travail qui est d’autant plus remarquable que ce n’est assurément pas l’espérance d’un quelconque profit qui vous a incité à publier ce livre.

MD – Je souhaite vous remercier pour le beau et passionnant livre que vous m’avez adressé. La documentation minutieuse, la rédaction, la mise en page représentent un gros travail et un important investissement de temps et je dois vous avouer mon admiration pour le résultat.
Je vous souhaite un succès bien mérité.

PT – Votre livre est un admirable travail, une mine pour qui veut découvrir Arnould Galopin, un vibrant hommage également, et c’est ce qui rend votre ouvrage sympathique….
Merci à vous donc pour ce très beau travail qui méritait d’être publié et qui ouvre la voie à bien d’autres explorations dans l’œuvre formidablement touffue de cet auteur….

Etc…

 

Dans les médias

  • 2014 : Revue « 13 comme une » (Agglomération de Cergy-Pontoise) numéro 200
  • 2014 : The Adamandine , Miscellanées littéraires et populaires 
  • 2013 :

Dans la revue  Eléments n° 147 – avril-juin

Carnets de lectures de Michel Marmin

 Il est bien possible que la politique de la table rase ait été également appliquée à la littérature populaire, et que celle-ci soit depuis belle lurette soumise au régime unique de la niaiserie politique et sentimentale. On me dira que ça a toujours été le cas. Eh bien non ! Au XIXe et dans la première moitié du XXe, il y eu une littérature populaire française talentueuse, inventive, généreuse, virile, instructive.

Pierre Chevallier a consacré un formidable ouvrage à l’un des champions de la catégorie, Arnould Galopin (1863-1934), qui a beaucoup compté dans l’enfance d’Alain de Benoist – il nous l’apprend dans Mémoire Vive. Peut-être l’Arnould Galopin de Chevallier lui donnera l’envie d’y revenir. Le prolifique romancier a œuvré dans tous les genres, du roman de cape et d’épée au roman policier, en passant par la science-fiction. Il était en somme le fils d’Alexandre Dumas, d’Emile Gaboriau et de Jules Verne. De Galopin, je n’avais personnellement lu, assez récemment d’ailleurs, que Le Sergent Bucaille (1928), mémoires imaginaires d’un soldat de Napoléon. Je puis assurer que l’épopée impériale n’a pas inspiré beaucoup de livres aussi vivants, aussi émouvants et aussi bien sentis que celui-ci. J’en ignorais l’existence lorsque j’ai écrit mon Napoléon au-delà de la légende, car je l’aurais cité au même titre que Le Conscrit de 1813 d’Erckmann-Chatrian. Le livre de Chevallier est à la fois savant et modeste. Savant, il l’est par sa documentation prodigieuse, par la précision de ses informations : Arnould Galopin était aussi un poète normand, et il a touché au cinéma (muet). Quant à la modestie de Chevallier, elle consiste à ne pas chercher à se faire valoir en se livrant à des exégèses aventurées. C’est une grande qualité. Il y a aussi de superbes reproductions de couvertures en couleurs.

Que lirai-je en priorité ? Entre une centaine de titres, je me laisse le choix entre L’Espionne du cardinal (1903),    Le Docteur Oméga (1906) et La Ténébreuse affaire de Green-Park (1910) …. Si je les trouve.

 

 

Acheter le livre

Le livre est distribué par l’auteur-éditeur (PGC Editions) mais vous pourrez vous le procurer de différentes façons :

  • en consultant votre libraire (précisez-lui le n° de code de l’ouvrage 9 782746 648180 ou donnez-lui simplement le titre de l’ouvrage – Arnould Galopin – et le nom de l’auteur – Pierre Chevallier) ; il pourra se mettre en rapport avec l’éditeur pour fixer les modalités de fourniture (frais de port, remise).
  • sur le site de la librairie Decitre,
  • en consultant certains sites de ventes de livres sur internet, notamment Priceminister.
  • en joignant directement l’éditeur par mail
  • ou par téléphone : 06 72 70 97 49, afin de mettre au point les modalités de la fourniture.

Prix public : 25.00€ – Hors frais d’envoi postaux